cp

 

  Ces pages ayant été numérisées nous ne pouvons garantir une fidélité exacte à 100% du texte malgré le soin apporté à sa correction.

Saint Cernin

Canton. — Le canton de St-Cernin, dépendant de l'arrondissement d'Aurillac, est borné au nord par ceux de Pleaux et de Salers; au sud et à l'est, par le canton nord d'Aurillac, et à l'ouest, par celui de Laroquebrou. Il se compose des communes de St-Cernin, de St-Cirgues-de-Malbert, Frex-Anglards, Girgols, St-Illide et Tournemire. La petite commune de St-Martin-de-Valois a été supprimée et fondue dans celle de St-Cernin, en dédommagement de la nouvelle commune de Frex-Anglards qui en a été formée.

Ce canton est arrosé par la rivière de Doire et quelques forts ruisseaux.

Le sol, en général volcanique, offre dans le fond des vallées du schiste et du gneiss, comme on peut le voir sur la route impériale, au-dessous de St-Cernin.

Le canton est divisé par des vallées profondes tapissées de verdure ; celle de Tournemire se fait surtout remarquer par ses jolis villages comme jetés au hasard dans une vaste prairie. Les bois taillis et futaies couvrent les versants à l'aspect du nord. La population totale du canton est de 8,106 habitants. Il fournit un Membre au Conseil général et un autre à celui d'arrondissement.

Commune. — La commune de St-Cernin présente une forme ovale du nord-est au sud-ouest. Elle est bornée au nord par celle de St-Cirgues-de-Malbert; au sud, par celles de Jussac et de Marmanhac; à l'est, par celles de St-Projet, de Girgols et de Tournemire; et à l'ouest, par les communes de St-Illide et de Frex-Anglards.

La rivière de Doire l'arrose dans sa longueur et fertilise d'excellents prés; on y voit en outre les ruisseaux de Roziers, de la Merlie, d'Apcher, de Soulane, de Combourieu, de la Garde, etc.

Son étendue territoriale est de 4,779 hectares, dont 2,195 hectares en terres cultivées un peu maigres et froides; 2,591 hectares en prés et pacages de bonne qualité et excellents dans le vallon; 513 hectares en bois taillis de hêtres et futaies de chênes; 1,084 hectares en bruyères et rochers. En 1531, on y cultivait le sarrasin et l'orge; ce fait est constaté par un acte du chapitre de la cathédrale de Clermont, qui exigeait la dîme sur les terrains défrichés.

La population de la commune est de 2,848 habitants pour un bourg, 26 villages et 16 hameaux.

St-Cernin, chef-lieu, à 2 myriam. 1 kil. d'Aurillac, est un gros bourg bien bâti, sur la route n° 122, et très-élevé a l'aspect du nord, sur le versant de la montagne qui domine le vallon de Tournemire. La route le traverse, le vivifie et lui donne quelque mouvement commercial. On y tient trois foires assez suivies, surtout pour les moutons : le 20 janvier, le 15 avril et le 26 août. Il y a justice de paix, receveur de l'enregistrement et bureau de poste.

L'église de St-Cernin, qui doit remonter au XIII° siècle, est du style byzantin. Vaste et bien tenue, elle a été restaurée à plusieurs époques et surtout en 1606. Saint-Saturnin, par corruption Saint-Cernin, en est le patron.

C'était autrefois un prieuré qui, en 1313, fut réuni au chapitre cathédral de Clermont par Arbert, évêque de cette ville, avec l'approbation du pape Jean XXII. Sous la protection du souverain pontife, le chapitre put jouir paisiblement des revenus du prieuré, à la charge d'entretenir un curé pensionné, pour le soin des âmes et à sa présentation.

Jean XXIII confirma, en 1508, cette réunion, qui avait été contestée jusqu'alors par divers seigneurs du pays, surtout par celui de Marses. Les revenus du prieuré, déjà considérables, avaient été augmentés même avant 1288 par le prieur, qui acheta des rentes à N Rigaud de Mauriac, chevalier, et à sa mère; une sentence fut rendue à ce sujet. En 1430, N.-Nicolas de Tournemire, seigneur de Marses, voulut, par son testament, être enterré dans la chapelle de S-Marie-de-la-Voûte, de l'église de St-Cernin. Le Sr de Raghaud, en 1568, transigea avec le seigneur de Marses pour leurs droits respectifs à la chapelle de N.-Dame.

L'église est aujourd'hui ornée en partie des dépouilles du chapitre de Saint-Chamand; elles consistent en stalles, boiseries sculptées sur chêne avec un soin infini, et qui sont de la fin du XV° siècle; une boiserie représente l'arbre de Jessé.

Les prieurs, recteurs et curés connus ont été:

Guillaume Vidal, en 1342 ; Pierre de Crose, prieur en 1440 ; Jacques Delfraisse. en 1491 ; Pierre Vigier, recteur en 1509; Autre Jacques Delfraisse, en 1529; Geraud Beynaguet, en 1540; Pierre Bories, en 1626; Antoine de Curton, en 1641; Antoine Delzongles, en 1655; N. Las Vergues, en 1672 ; autre Antoine Delzongles, en 1706; N. Laparra, en 1736; Jean Raymond, de 1751 à 1778; N. Raymond, son neveu, en 1789.

Le lieu de St-Cernin, anciennement St-Saturnin, aurait autrefois appartenu à des seigneurs du même nom, puis aux familles d'Aurillac, de Montal et de Cardailhac. N. Astorg d'Aurillac, baron de Conros, épousa, au commencement du XIII° siècle, Dauphine de St-Cernin, dame de St-Cernin, d'Yolet, etc., qui devait être l'héritière de cette famille, puisqu'elle porta à son mari ces seigneuries. Dauphine d'Aurillac, fille d'Astorg et de Dauphine de La Tour, fut aussi dame de St-Cernin et porta cette terre à Bertrand de Cardailhac, son mari. Ce Cardailhac devint ainsi la tige des seigneurs de St-Cernin. La famille de Montai a possédé St-Cernin en partie; ses droits se fondirent dans ceux des Cardailhac, par le mariage de Marguerite de Montal avec François de Cardailhac. En 1648, Gilbert de Cardailhac, un des descendants de Bertrand, fut seigneur de St-Cernin et conseiller au Parlement de Toulouse; il épousa Victoire d'Aquino, de la maison des princes de Melphe. Son fils, Antoine, seigneur de St-Cernin, fut chevalier des ordres du roi et sénéchal du Quercy. Son frère, qui commandait un régiment de cavalerie, fut tué en Italie. Vient ensuite Gilbert, marié à Madeleine de Bourbon, et père de François dont il a été parlé plus haut. François servit comme capitaine en 1634. et fut plus tard lieutenant-colonel du régiment de Chamassé. Son fils, Louis, seigneur de St-Cernin en 1666, était lieutenant-colonel et habitait le château de Clavières, près d'Ayrens. François eut aussi Edme de Cardailhac, seigneur en partie de St-Cernin, et qui forma une branche particulière. (Voy. Frex-Anglards.) La seigneurie de St-Cernin passa à la maison de Noailles, qui en jouissait en 1738. Plus tard, les seigneurs de Sarret de Fabrègues en firent l'acquisition et la possédaient en 1789

Les villages et hameaux de cette commune sont:

Alterines, village près de Girgols. Il fut acquis, avant 1303, d'Astorg, d'Aurillac, par Guillaume Imbert, damoiseau. Géraud d'Escorailles en était seigneur en 1320.

Anglards-le-Pommier, village à l'ouest du chef-lieu.

Anjony, hameau, dit Anjony-Bas.

Apcher, village près de la route royale, sur le ruisseau de Girgols.

Le Bac et Moulin, villages.

Bargues, village au sud du bourg. C'était jadis un fief qui a longtemps appartenu pour la directe à la famille de Chazette, de Salers, et qui en a souvent pris le nom. Mathieu et Géraud Lalo, frères, de Montvert, ainsi que Rigaud de Veilhan, damoiseau, étaient seigneurs de Bargues en 1327. Ils en firent hommage au baron de St-Christophe; il passa par acquisition, en 1462, à Antoine de Chazettes, qui fut juge et bailli des montagnes pour l'évëque de Clermont, en 1497. Ses descendants ont été seigneurs de Bargues.

Belbex, hameau.

8* Bellières, village sur la plaine, près de Raghaud.

Le Boyssou, hameau.

10° Bournazel et Moulin, hameau et château sur la Doire, entouré de bois et de prairies. C'était un ancien fief qui a appartenu à Guillaume de Bournazel, damoiseau, en 1268. Il en fit hommage, en 1291, à N.-Pierre de Tournemine; il n'y avait pas de château en 1321, ou du moins il était en ruines. Melchior de Richard habitait au xvi* siècle ce lieu. Il avait épousé Jeanne de Bardet de Bure. Sa fille, Constance de Richard, fut mariée en 1646, avec N.-Gabriel de Veilhan; en secondes noces, avec N.-Jean de Pouzols, seigneur de Carnejeac , qui devint ainsi seigneur de Bournazel. La famille de Pouzols a possédé le château depuis cette époque jusqu'en 1788, où Guyon de Pouzols le laissa par testament à N. Giraudet, avocat à Neuvic.

11° Brolinges, village au sud-ouest du bourg.

12° La Calmettt, village.

13° Le Cambon, hameau et jolie campagne dominant la IToire. Ce fief était à N.-Louis d'Anjony en 1390. Une tour existait eu 1410 et le château fut construit en 1580. Cibilie du Cambon porta ce lief en dot à N.-Bertrand de Tournemire vers l'an 1400. Il resta dans cette famille jusque vers l'an 1568, où Louise d'Anjony épousa N.-Pantaléon-Robert de Lignerac, et reçut en dot le Cambon. Robert de Lignerac n'ayant pas eu d'enfants mâles, maria, en 1614, Catherine Robert, sa fille, à Hercule de Veilhan, fils de Gabriel, seigneur do Penacor, et de Madeleine de Rouffinhac. Ce dernier fut ainsi seigneur du Cambon, où sa veuve habitait en 1635. La grosse tour existait alors avec un corps de logis attenant et qui renfermait beaucoup d'armes de guerre. Rigal de Veilhan. frère du défunt, fut prieur du Vigean, et Gabriel, autre puîné, seigneur de Courdes et de Soursac. Marguerite de Veilhan, sa fille, avait épousé N.-Philibert de Duras. Le Cambon était encore à Catherine Robert de Lignerac en 1659. La famille de Grenier s'étant alliée à celle de Veilhan, le Cambon devint sa propriété. Vers 1713, Marie de Grenier le porta par son mariage à N. Jacques tle Pouzols, seigneur de la Garrigue. En 1788, Jean-Raymond de Calonne, chevalier de Saint-Louis, était seigneur du Cambon ; c'est de lui que le château et le domaine ont été acquis par M. Bastid d'Anglards, dont la famille possède aujourd'hui cette belle propriété. Le château du Cambon, en relief sur une verte éminence, ouvrant son élégante façade sur une gracieuse terrasse ombragée d'un tilleul séculaire, entouré d'un horizon pittoresque et des premiers plans les plus agréablement accidentés, soit dans la gorge du ruisseau de Lamerlie, soit dans la vallée de la Doire, est un des points de cette vallée qui offrent le plus de charmes au regard. Une fontaine minérale existe dans les environs.

14° Cambourieu, village en 1327 à Guillaume de Cambourieu, seigneur de la Chaze, damoiseau, qui habitait St-Cernin. Robert de Tournemire, seigneur de Marses, l'avait en 1529.

15° Cors, village à l'ouest du bourg.

16° Le Cros, village sur le chemin de Tournemire, dans le vallon. En 1687, N.-Jean de Pestel et Jeanne de Monteil, son épouse, habitaient le château de Cros, composé de deux tours. Hélène, leur fille, fut mariée à Raymond Fortet, fils de feu Joseph et d'Antoinette de Vigier. Il était à M. de Calonne en 1730.

17° Faussanges, village et beau château à la moderne, non loin de Tournemire. C'était un fief connu au xui° siècle. Guillaume de Faussanges, clerc, Geraud et Jean, ses frères, firent, en 1293, leur hommage à N.-Guillaume de Tournemire, chevalier, fils de feu Pierre, seigneur dudit lieu, pour le moulin, de Faussanges, sur la Doire. Jean de Faussanges était recteur de Tournemire en 1421. Pierre, dit aussi de St-Cirgues, habitait encore Faussanges en 1459. Antoine Crandelles, fils de Géraud, fut sommé par Jean d'Armagnac, abbé d'Aurillac en 1465, de lui faire son hommage pour ce qu'il possédait; il était alors homme d'armes. Jean Rivet de Faussanges servait sous le capitaine Maleprade en 1595. N.-Pierre de La Roche possédait ce fief en 1598, et un de ses descendants, François de La Roche, l'habitait en 1659. Cette même année, Guy de Girgols, seigneur de Bassignac, épousa Antoinette de Chazettes, et son fils Jacques fut seigneur de Faussanges. En 1767, c'était N. Delsongles, avocat, seigneur aussi de Marcenat, St-Martin-de-Valois, Laubat, etc.; il habitait le château qui est aujourd'hui à Mm° veuve de Vernière. Ce château fut brûlé, il y a quelques années, mais rebâti aussitôt avec plus de goût et d'élégance.

En extrayant de la pierre sur un monticule des environs, en 1841, on a trouvé une hache gauloise à deux fins et percée au milieu pour recevoir un manche; elle est en pierre volcanique compacte et se trouve à la bibliothèque d'Aurillac.

18° Monteil ou Fau-Monteil, hameau et château qui a appartenu â la famille de Veilhan de 1551 vers 1711, puis à la famille de Grenier, puis à celle de Comblat qui l'a possédé jusqu'en 1789.

19' Fonbulin, village habité en 1625 par Florette de Piallat, veuve de Robert de Tournemine.

20° Frayssi, village au sud du bourg et près de la route royale.

21° La Garde, village qui était en 1694 à Jean-Antoine de Barriac, seigneur du Perle, gentilhomme distingué par son courage militaire, mais d'un caractère très-violent et redouté. Son fils François fut aussi seigneur de la Garde.

22° Roc-de-la Gardette, hameau.

23° La Gardette, village près de Combourieu.
24° La Maletie, village.
25° ilarcer.at, hameau.
26' Las Maries, hameau.
27° Marses, village et château situé avantageusement à l'aspect du midi et d'un aspect pittoresque. Cette seigneurie fort ancienne était à la famille de Tournemire. En 1336, Godefroi de Tournemire acheta des rentes à Marses. Jean son fils, seigneur de Marses, épousa, en 1340, Cibile de Carlat. C'est vers ce temps que fut bâti le château.

Louis de Tournemire fut seigneur de Marses en 1421 ; il traita avec Jean de Prallat, chevalier, qui épousa Catherine, sa sœur. Son neveu, Nicolas, était chanoine de Brioude. Son fils, Pierre, épousa en 1448 Antoinette de St-Paul, de la ville d'Aurillac, et fut la souche des seigneurs de Vals.

Guy de Tournemire fut quelque temps vice-bailli pour la Haute-Auvergue, vers 1518. Son fils, Jean, était commandeur de Caillac en 1534.

En 1546, la seigneurie de Marses passa à N.-Jacques-Robert de Lignerac de La Garde, par son mariage avec Françoise de Tournemire. Jean-Gilbert-Robert de Lignerac, son fils, était en 1586 capitaine du château de Carlat et y avait son logement.

La terre de Marses passa , vers 1680, des Lignerac aux Lintilhac de Salvert, puis aux d'Ussel, qui l'ont possédée jusqu'en 1789.

Le château se composait, en 1660, d'une grosse tour carrée à quatre étages, avec deux corps de logis, et d'une petite tourelle formant une cour, avec d'autres bâtiments; il y avait prison et cave au bas de la tour; une jolie chapelle avec son clocher était contiguë à un des corps de logis. Une partie du château s'écroula en 1747.

28° St-Martin-de-Valois ou sous Tournemire, village, était autrefois le chef-lieu d'une paroisse et d'une commune, supprimées depuis quelques années. Ce village est situé dans le vallon de Tournemire, au-dessous et au sud de St-Cernin. L'église est entièrement ruinée. En 1434, à la prière de Bonne d'Armagnac et du Sr de Pardiac, son fils , l'évêque de Clermont, Martin de Charpagne, donna les revenus de St-Martin-de-Valois au chapitre de N.-D. d'Aurillac, pour venir au secours de cette nombreuse communauté. Le pape Eugène confirma la donation, et chargea le prévôt de Montsalvy de la faire exécuter.

29° Mauguié, village.

30° La Montagne, hameau.

31° La Mourio, village sur la route impériale, au nord et vis-à-vis St-Cernin.

32° Ourzeaux, village avec un petit château à tourelle sur la route impériale, au sud du bourg. C'était, en 1559, un membre dépendant de la commanderie de St-Jean-de-Done et du Temple d'Ayen. La famille de Cornaro de Curton, originaire d’Italie, a longtemps habité Ourzeaux. Charles de Cornaro, gentilhomme Romain, était fils de Boniface et de Catherine de Spinola; il vint en France à la suite de Catherine de Médicis et y épousa Jeanne de Renty. Son fils, Altiéri de Cornaro et ses descendants, habitèrent quelque temps Ourzeaux, puis vinrent se fixer à Marmanhac. Il existe encore quelques branches de cette famille dans le département.

33° La Passoune, moulin.
34° Le Puech, village.
35° Puech-Marzes, village.
36° Regheaud ou Rugheaud, hameau et château dominant un petit vallon ; il appartenait, en 1327, à Pierre de Bellières, damoiseau. Le repaire de Regheaud était, en 1386, à N.-Jean de ce nom, qui en fit son hommage au seigneur de Tournemire. Guillaume de Regheaud, son fils, épousa, en 1430, Claude de Ribier, fille de noble Pierre, seigneur de Plagnes. Après les de Regheaud , les de Corn devinrent seigneurs de ce domaine; ce furent ensuite les de Grenier, qui le vendirent, en 1752, à la famille de Calonne , établie depuis peu en Auvergne et originaire de la Picardie. Il faut dire un mot de cette honorable famille : Jean de Calonne, Sr d'Avesnes , près de Pequigny, vivait en 1532 et possédait dix-sept fiefs; il fut homme d'armes de la compagnie de M. de Montfort, en 1569. Son oncle, Godefroy de Calonne, était lieutenant d'une compagnie de 50 hommes d'armes.

Houdart de Calonne fit ses preuves en 1698. Jean de Calonne servit avec distinction et brilla par son courage à la bataille de Fontenoy, où il commandait une compagnie. Un de ses soldats, nommé Delpuech, de la commune de St-Cernin, est mort en 1840 à l'âge de 120 ans.

Joseph-Philippe, fils du précédent, baron de Regheaud, le Monteil, ancien capitaine de cavalerie de Noailles, se maria avec Julienne Rode de Chavaillac, et eut pour fils et héritier Jean-Raymond de Calonne , Sr du Cambon , chevalier de St-Louis, capitaine de cavalerie, qui restait au château de Fau-Monteil, en 1751. Enfin, le seigneur de Regheaud, en 1788, était M. Mathieu de Calonne.

37° Renac. hameau.

38° Roziers, village.

39° Thouron, village.

40* La Vergne, hameau.

41° Las Vergues, hameau.

42° La Vighe, hameau qui était au Sr de le Roux.

On découvrit, il y a quelques années, sur le Puy-Cantarel, près de St-Cernin, des bracelets et des colliers gaulois en bronze, mêlés avec d'autres objets.


 

Pin It