Pendant qu'un étrange volatile, venu d'on ne sait où ?, hante les rues Aurillacoises, nos chères cigognes, arrivées au printemps, goûtent les plaisir de l'eau à quelques coups d'ailes du square...
N'entend on pas de ci, de là, que des demandes de plantations de cépages alsaciens seraient déposées auprès des autorités compétentes !
Les vastes étendues, au sud d'AURILLAC, après une première colonisation par ces échassiers, emblème de toute une province, seraient transformés en vignobles...Affaire à suivre !
PHOTOS JP RICKELIN
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